Critique : Cruella
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
Si seulement plus de films d’action étaient comme ça. Structurellement proche de John Wick, Nobody est juste énorme.
J’espérais le retour de maître Snyder. Pas de bol, on retrouve sur Army of the Dead le pire de son cinéma sans ses grosses qualités.
Quand le studio derrière Robot Chicken fait une série Marvel, le cœur de votre serviteur chavire. Surtout que Patton Oswalt est impliqué.
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.