Critique : Beetlejuice Beetlejuice
Une suite qui fait son beurre en jouant la carte de la nostalgie et des séquences inspirées. Dommage que l’histoire soit trop morcelée.
Toutes les critiques sur les pires films.
Une suite qui fait son beurre en jouant la carte de la nostalgie et des séquences inspirées. Dommage que l’histoire soit trop morcelée.
Une suite prenant bien plus de risques que son prédécesseur, mais malheureusement au final, on se retrouve devant un pantin désarticulé
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Un conte en mode Pinocchio version comédie érotique où le cul est omniprésent en plus d’avoir des relents pédophiles Particulier.
Avec Rebel Moon, Zack Snyder veut livrer son Star Wars. Sauf qu’il a visiblement oublié de lui donner une identité au passage.
En mettant l’accent sur l’histoire d’amour sur un fil wikipédiaesque, Ridley Scott se manque totalement car il réussit nulle part.
Renfield ne vaut que pour le kif de voir Nicolas Cage cabotiner en Dracula, le reste est incroyablement plat au vu du sujet.
J’aurais voulu crier au chef d’œuvre, mais je n’ai pas accroché. Finalement, seul le fan service via le multivers m’a emballé.
Malgré une proposition alléchante bousculant les clichés, Ghosted peine très vite à être autre chose qu’une simple romcom d’action.
Adam Driver. 93 minutes au compteur. De la Sci-Fi. Des dinos. Qu’est-ce qui pourrait mal se passer ? Et bien, comment dire ?