Critique : Le Ministère de la Sale Guerre
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Pour sa troisième saison, The Bear calme le jeu pour développer ses personnages. Mais ça reste toujours aussi excellent.
Quel plaisir de ne pas attendre de longs mois avant d’avoir droit à une nouvelle saison de Bienvenue à Wrexham. Bref, toujours aussi jubilatoire.
Deadpool & Wolverine est le No Way Home de Wade Wilson. Bref, Marvel Jésus et le Glouton ont frappé (et ça fait mal aux couilles) !
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
The Acolyte vaut le coup d’œil pour ses duels au sabre laser. Par contre, il faut se taper des personnages aux comportements aberrants
Devant Moi, moche et méchant 4, j’ai ressenti une certaine lassitude, car les nouveautés se comptent sur les doigts d’une main.
S’il me fallait faire un top 10 des meilleures séries de tous les temps, Atlanta y figurerait sans l’ombre d’un doute.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
Basé sur une histoire vraie, The Bikeriders par Jeff Nichols raconte l’âge d’or d’un groupe de motards avec une distribution exceptionnelle.