Critique : Le Ministère de la Sale Guerre
Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
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Le ministère de la Sale Guerre, c’est comme si Guy Ritchie avait décidé de faire son Inglourious Basterds (2009).
Une saison où l’intrigue tourne en rond pour tenir jusqu’à la prochaine (et dernière, heureusement) saison.
Pour sa troisième saison de Clarkson à la ferme, Jeremy est confronté aux porcs et aux pénis de l’espace. Bref, c’est toujours aussi drôle.
Après la série The Last of Us, les jeux vidéo ont une nouvelle adaptation très réussie en la personne de Fallout.
Un nouveau concept auquel j’ai particulièrement adhéré. En gros, c’est un The Voice chez les comiques qui va droit à l’essentiel.
Road House cuvée 2024 est un film où il est surtout question de bagarre. Du coup, on va avant tout le voir pour les phases de bourre-pifs.
Oscarisé pour le meilleur scénario adapté, Fiction à l’américaine est une comédie noire maligne et pleine de mordant.
Si Ricky Stanicky est une comédie classique, elle arrive tout de même à se démarquer grâce à l’exceptionnelle performance de John Cena.
Malgré un casting prometteur, cette saison n’arrive pas au niveau de la précédente. Mais ça reste du LOL, un bon moyen pour se marrer.
Ce remake de la série Mr. & Mrs. Smith est exceptionnel. Il faut dire qu’ils ont réuni l’équipe derrière l’excellente série Atlanta.