Critique : Baldur’s Gate III
Le jeu de l’année Baldur’s Gate III est assurément l’un des plus grands jeux vidéo de l’histoire tant sa richesse est monstrueuse.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Le jeu de l’année Baldur’s Gate III est assurément l’un des plus grands jeux vidéo de l’histoire tant sa richesse est monstrueuse.
Marvel Studios renoue avec les Defenders en livrant une série mature reposant sur la fascinante dynamique entre Maya Lopez et le Caïd.
Avec Rebel Moon, Zack Snyder veut livrer son Star Wars. Sauf qu’il a visiblement oublié de lui donner une identité au passage.
J’avais adoré le premier Aquaman. Pour cette suite, malheureusement, on a sa version Love & Thunder sans les qualités de ce dernier.
Un survival horror regorgeant d’excellentes idées au service d’une histoire dingue et d’une direction artistique de très haute volée
Wonka est un magnifique conte aussi drôle qu’émouvant n’oubliant d’émerveiller dans la lignée des deux Paddington.
Un Disney mineur souffrant d’une tentative d’innover visuellement mais dont le rendu est, au mieux, moyen en plus de ne jamais être dépaysant.
Une excellente surprise à destination des fans de Scott Pilgrim. Ne vous fiez pas à son apparence d’adaptation banale des comics.
Un excellent jeu dans la lignée du premier et son spin-off en mode « plus haut, plus loin, plus vite ». J’ai tout de même quelques réserves.
Plus haut, plus loin, plus vite. The Marvels applique ce mantra pour livrer une aventure cosmique survitaminée autour d’un trio attachant.
La saison 2 de Loki s’achève sur un épisode dingue. Avec une des scènes les plus épiques du MCU. Dans mon cœur. Pour toujours. À jamais.
Un Marvel Studios renouant aux origines, à savoir proposer une aventure spectaculaire, fun et émouvante autour de personnages attachants.