Critique : Octopath Traveler II
Derrière son apparence old-school se cache un bijou de gameplay où je n’ai pas vu passer les 60 heures de l’aventure principale.
Derrière son apparence old-school se cache un bijou de gameplay où je n’ai pas vu passer les 60 heures de l’aventure principale.
C’est désormais fini pour Midnight Suns avec son ultime DLC consacré à Tornade doté de la même formule mais avec une surprise finale.
Moins magistrale que la deuxième, cette troisième saison des aventures de Din Djarin recèle tout de même pas mal de surprises.
Après trois films à oublier, le jeu Donjons & Dragons connaît les joies d’une nouvelle adaptation et cette fois-ci, c’est la bonne.
Sans inspiration, Shazam! La rage des dieux se contente de balancer un récit super-héroïque sans jamais vraiment réussir nulle part.
Super Mario Bros, le film permet d’oublier l’affront du film live de 1993 en proposant une aventure fidèle aux jeux vidéo.
La déception prédomine sur le DLC consacré au vampire vivant Morbius avec une histoire et un gameplay sans inspiration.
Un monde ouvert façon The Witcher dans l’univers de Harry Potter. C’est le pari réussi d’Avalanche Software.
Aucune surprise si on a déjà joué au DLC de Deadpool, on nous propose exactement la même chose pour le Lethal Protector, Venom.
Si Extraordinary ne paie pas de mine au premier abord, il ne faut pas s’y arrêter, la série étant un petit bijou d’humour.
Même si je trouve le prix un peu abusé, difficile de nier les qualités de ce DLC mettant à l’honneur Deadpool.
Aucune surprise de la part de Firaxis Games. Avec Midnight Suns, le studio nous pond un excellent tour à tour basé sur un gameplay addictif,