Critique : Blanche Neige (2025)
Plus qu’un remake, cette version de Blanche Neige propose une nouvelle histoire tout en gardant les grandes lignes de la version de 1937.
Chez Le blog de Marvelll, on adore regarder des films, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Plus qu’un remake, cette version de Blanche Neige propose une nouvelle histoire tout en gardant les grandes lignes de la version de 1937.
Auréolé de trois prix prestigieux, Flow, le chat qui n’avait plus peur de l’eau est un long-métrage fascinant par ses origines.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
Après Parasite, Bong Joon-ho retourne à la science-fiction et au film de monstres avec Mickey 17 accompagné par plusieurs Robert Pattinson.
Un sympathique road trip porté par un rythme rapide, quelques bonnes répliques et surtout la performance de Kieran Culkin.
Scott Derrickson livre un film mélangeant plein de genres, pour un résultat efficace, même s’il manque de folie.
Paddington au Pérou connaît un changement critique vu que le réalisateur Paul King a quitté l’aventure pour Wonka.
Une suite tout aussi formidable que Bridget Jones Baby, qui amène Bridget sur de nouvelles voies : celle de la mère célibataire et du deuil.
« Vous n’êtes pas Steve Rogers » proclame Ross à Sam Wilson. Cela résume ce Brave New World qui est un Captain America sans inspiration.
Après Invisible Man, j’étais curieux de voir ce que Leigh Whannell allait faire avec le loup-garou. Malheureusement, pas une réussite.