Critique : Nobody Wants This – Saison 1
Une romcom efficace réussissant à transcender son amusant pitch de départ : « une agnostique et un rabbin tombent amoureux ».
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Une romcom efficace réussissant à transcender son amusant pitch de départ : « une agnostique et un rabbin tombent amoureux ».
La série documentaire ne dresse pas seulement le portrait de Vince McMahon, elle raconte aussi l’histoire de sa création. Passionnant.
Jeremy Saulnier est de retour ! Et avec lui, un excellent film entre Rambo et Jack Reacher, mais dans une veine réaliste.
Dans la lignée de Scott Pilgrim prend son envol, également sur Netflix, Terminator Zero propose une relecture du mythe.
Cette deuxième saison d’En Place est loin de la première. Tout est devenu tellement caricatural qu’il n’y a plus de plaisir.
Vu Un prince à New York 2, j’étais inquiet pour ce Flic de Beverly Hills 4. Si ce n’est pas aussi mauvais, ce n’est pas mémorable non plus.
The Good Place est une véritable petite pépite dans le registre de la comédie, autour d’un sujet original traité de manière intelligente.
Sous la Seine vaut surtout pour l’excellent sens du timing de sa sortie. Autrement, il n’y a pas grand-chose à sauver de ce nanar.
Atlas donne l’impression de regarder un film d’action SF un peu nanardesque des années 90 comme Judge Dredd ou Universal Soldier.
Avec The Gentlemen, Guy Ritchie adapte son meilleur film récent en série télévisée. Bref, un régal si l’on est fan du bonhomme.