Critique : Soul
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.
Marvelll a ajouté Clouds dans sa liste des films qu’il ne reverra jamais car ça fait trop chialer. Aux côtés du Tombeau des Lucioles.
Trois ans de suite, La La Land a trusté une place dans mon top 10 des films les plus attendus de l’année à venir. Néanmoins, je craignais la déception.
N’aimant guère le rap, je pensais m’ennuyer devant N.W.A: Straight Outta Compton. Surtout que ça dure 2h27, mais pas du tout. À la place, un gros kif.
Après un bon film, Magic Mike revient avec ses amis et un slip XXL pour un road-movie dans un style moins sérieux, mais plus fun.
Après avoir cartonné dans Pitch Perfect, les Bellas reprennent du service en se faisant une suite à la Rocky tout en restant aussi tendre qu’un Pitch.
Les comédies musicales ne sont pas mon trip, mais là, j’étais vraiment intrigué, car je voulais voir le résultat de la fusion de plusieurs univers Disney.
Inspiré de Frank Sidebottom, Frank raconte l’histoire de Jon fasciné par le leader du groupe Sonorfbps, Frank, un mec qui se cache derrière une tête géante.
Une claque. Une expérience cinématographique rare. J’avais bouclé mon top 10 de l’année 2014. Et voilà que… Et voilà que Whiplash a retenti.