Critique : Hawkeye – Épisode 6 « Tu parles d’un joyeux Noël ! »
Avec sa conclusion, la série Hawkeye confirme tout le bien que j’en pensais. Pour tout dire, c’est même ma série Marvel Studios préférée.
Avec sa conclusion, la série Hawkeye confirme tout le bien que j’en pensais. Pour tout dire, c’est même ma série Marvel Studios préférée.
Cet épisode prend le soin de faire la liaison avec le film Black Widow tout en introduisant un événement de taille.
Plus posé que l’épisode précédent, histoire de préparer la suite, mais pas anecdotique. La série Hawkeye ne cesse pas de me ravir.
Quelle claque, cet épisode. Entre Maya « Echo » Lopez et ses deux scènes d’action sans oublier sa représentation de la surdité.
J’attendais beaucoup de la série live Cowboy Bebop, je voulais même la voir avant de regarder l’animé, mais elle a foiré son casting.
Ce deuxième épisode confirme tout le bien que je pense de la série avec un duo Clint Barton et Kate Bishop faisant des étincelles.
S’il n’était pas le projet le plus attendu du MCU, force est de constater que sur ce premier épisode, Hawkeye fait déjà mouche dans mon cœur.
Alors Red Notice, c’est Black Adam, Deadpool et Wonder Woman qui sont des voleurs, des flics, des archéologues, des cinéphiles et j’en passe.
Ayant adoré la série Les Soprano, il fallait absolument que je vois Many Saints of Newark. Malheureusement, je n’en retiens pas grand-chose.
Malignant est une curiosité. Alors que le nouveau film de James Wan semble être un Conjuring bis, ce n’est pas du tout le cas.
Lorgnant sur le sillage ouvert par John Wick, Kate, malgré ses qualités notables, souffre de défauts plutôt pénibles.
Chris Rock et Samuel L. Jackson dans un Saw. L’idée est prometteuse. Malheureusement, ils se sont juste contentés de les foutre dans un Saw.
Alors que je m’attendais à un film moyen, j’ai été soufflé par Cruella. Toutes les cases pour une bonne histoire d’origine sont cochées.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).