Critique : Yakuza: Like a Dragon
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Enfin un Yakuza traduit en français. En plus, la saga sort de ses rails pour nous proposer une formule à la Dragon Quest. Je dis banco !
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Malgré un début prometteur et une Rosamund Pike façon Gone Girl comique, plus on avance dans I Care a Lot, plus ça devient n’importe quoi.
J’étais tellement persuadé que c’était une daube que je m’étais préparé à écourter la séance au plus vite. Impossible. Je me suis fait pécho.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.
Aucun bug n’aura réussi à entacher l’amour que j’ai pour lui. Cyberpunk 2077 est un de mes jeux préférés de tous les temps.
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.