Critique : Marvel’s Spider-Man : Miles Morales
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Malgré quelques coups d’éclat et une meilleure gestion du rythme, j’ai été déçu par cette deuxième saison à cause d’un sentiment de déjà-vu.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
Un vrai mauvais film et Netflix avait laissé un gros indice : ils l’ont sorti sans aucune promotion malgré une actualité pauvre.
Pas un biopic sur la vie de Capone, mais sur ses derniers jours alors qu’il sombre dans la folie. Bref, un film stylé mais soporifique.
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.