Critique : C’est nous les héros
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Toutes les critiques des films sortis durant l’année 2020.
L’ensemble est si ridicule et surjoué que ça a fait mouche chez moi. Typiquement, le genre de films que j’aurais regardé en boucle à huit ans.
Josh Boone avait voulu que Les Nouveaux Mutants soit le premier d’une trilogie. Au vu de ce premier épisode, ce sera sans regrets.
Une rétrospective sur l’année 2020 par les créateurs de Black Mirror sous forme de documenteur. Voilà une idée qui retient l’attention.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
Un bon film m’ayant marqué par son propos adulte (le Pixar le plus mature jusqu’ici) et sa représentation du monde abstrait.
Encore une déception made in Nolan. L’idée de départ est géniale, l’exécution beaucoup moins. La faute à une intrigue globalement prévisible.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.
Malgré une histoire classique, le charme de Marraine ou presque m’a envoûté. En grande partie, grâce à une délicieuse Jillian Bell.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Entouré d’une désastreuse réputation, le film Disney réadaptant La Ballade de Mulan sort directement sur Disney+ et j’ai plutôt bien aimé.
Je m’attendais à m’endormir comme devant Les chroniques de Noël 2. Finalement, je me suis surpris à rire et à lâcher une petite larme.
Le Disney+ Original est un récit sympathique grâce à son idée de voyage dans le temps permettant des combinaisons de personnages improbables.
Malin, reposant sur un fait de société poignant, superbement réalisé et porté par deux excellents acteurs, His House est un coup de cœur.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.