Critique : F1 le film
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Dans la lignée de Top Gun : Maverick (dont on retrouve l’équipe), F1 le film semble sortir des années 90 avec des séquences d’action folles.
Une troisième saison avec des jeux efficaces et une maîtrise du rythme et de la tension donnant envie d’enchaîner tous les épisodes.
Difficile de s’emballer pour ces trois premiers épisodes d’Ironheart où Dominique Thorne peine à offrir une performance marquante.
Même si Elio a réussi à m’émouvoir, il m’est pourtant difficile de le considérer comme une réussite, tant il est paresseux.
Une histoire touchante, construite de manière originale autour d’un homme nommé Chuck dont la vie n’a pas été épargnée par les drames.
Une saison moins marquante que la précédente, en raison de nombreux épisodes peu convaincants, voire invraisemblables.
Ray Mendoza et Alex Garland se sont associés pour livrer un film sur une bataille ayant eu lieu en 2006 en Irak. Une expérience à part.
Si son intrigue demeure classique, Deep Cover développe son idée originale pour offrir des moments sincèrement drôles.
La force du long-métrage de Gavin O’Connor repose clairement sur le duo Ben Affleck et Jon Bernthal, digne des meilleurs buddy movies.
Une deuxième saison inférieure à la première, souffrant particulièrement de sa structure de premier tiers d’une intrigue complète.