Critique : 21 Jump Street
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Chez Le blog de Marvelll, on adore regarder des films, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.
The Deep Blue Sea souffre d’un rythme lent et d’un sujet moyennement d’actualité mais offre une telle force émotionnelle.
The Raid est présenté comme pas moins le meilleur film d’action de la décennie par le service marketing. Rien que ça ?!
La déception de Prometheus se situe au niveau qu’il nous était vendu comme étant le 2001, l’Odyssée de l’espace nouvelle génération.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.
En adaptant ce monument de littérature, Walter Salles a pris un sacré risque et il s’en est plutôt pas mal sorti.
Cosmopolis promettait être le retour de Cronenberg après le moyen A Dangerous Method. De plus, il marquait la mue de la star de Twilight.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.