Critique : Togo
Je l’ai vu avec l’intention de ne pas laisser une larme couler. Mission réussie, ce n’est pas une larme qui a coulé, mais une dizaine.
Je l’ai vu avec l’intention de ne pas laisser une larme couler. Mission réussie, ce n’est pas une larme qui a coulé, mais une dizaine.
Premier film original Disney+, première claque. Toutefois, je préviens, Stargirl est lent et propice à l’assoupissement. Mais il fait mouche.
Disney+ est disponible en France depuis hier. Évidemment, je me suis jeté dessus. Après toute une journée, il est l’heure du premier constat.
Encore un film Netflix pas glorieux, on est un peu habitué, mais tout de même traversé par des éclaircies dont une géniale Betty Gilpin.
Alors qu’on attend toujours une date pour la saison 2 de The Boys, la promotion continue avec la présentation d’un nouveau : Stormfront.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.
Disney vient de dévoiler le catalogue complet de Disney+ qui sera disponible au démarrage du service, le 24 mars prochain. Examinons ça.
Une version pauvre de The End of the F***ing World. La faute à une héroïne insupportable et une écriture moins percutante.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Au lieu de se contenter de coller au plus près des comics, on nous a pondus une série pour adolescents. Lisez les comics, ça vaut mieux.
J’ai eu un mal fou à rentrer dans Fleabag, mais plus les épisodes passaient et plus je tombais amoureux de cette série.