Critique : Sweet Tooth – Saison 1
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Au loin de jouer sur le côté fantastique de Luca, Pixar reste focus sur l’histoire d’une amitié d’été dans un cadre italien paradisiaque.
Après une excellente entrée en matière nous invitant à découvrir un tout nouvel univers, ce deuxième épisode s’attache à poser les enjeux.
Dans le premier épisode de Loki, Un destin exceptionnel, durant un flash-back représentant l’espièglerie de Loki préférée de Mobius.
Pour son grand retour après une évasion remarquée dans Avengers: Endgame, on peut dire que Loki était attendu au tournant.
Pas un grand Disney, mais un film d’aventure familial efficace reposant sur des codes certes classiques mais faisant toujours mouche.
Quand j’ai appris que Netflix avait annulé son premier joyau de sa couronne des adaptations du Millarworld, je n’ai pas été surpris. CQFD.
N’ayant pas vu la trilogie Les Petits Champions, je ne m’attendais à rien de la série. Finalement, je me suis bien amusé.
Évidemment, chaque fan de la série Friends se doit de regarder cette émission spéciale. Rien que pour la nostalgie.
J’espérais le retour de maître Snyder. Pas de bol, on retrouve sur Army of the Dead le pire de son cinéma sans ses grosses qualités.