Critique : Daredevil : Born Again – S1.E7 « L’art pour l’art »
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Un épisode décevant… permettant de comprendre pourquoi Marvel Studios a bouleversé la production en changeant l’équipe créative.
Une nouvelle saison dans la lignée des précédentes, mais l’ajout d’un méchant façon James Bond old school fait toute la différence.
Deux épisodes différents : le premier est un sympathique stand-alone façon Annual tandis que le second fait monter la pression.
Severance est assurément l’une des meilleures séries actuelles. Cette deuxième saison confirme que la première n’était pas un heureux hasard.
Un gros épisode avec, étonnamment, deux séquences très amusantes. Mais pas gratuitement : il s’agit d’illustrer une montée en pression.
300 millions de dollars. Les réalisateurs d’Infinity War et Endgame. The Electric State avait tout pour être le blockbuster roi.
L’épisode du jour livre un procès passionnant grâce aux thèmes qu’il soulève, tout en maintenant une bonne tension malgré sa prévisibilité.
Le diable est de retour. Ça commence avec quinze folles premières minutes et la suite installe plusieurs intrigues diablement excitantes.
Un sympathique road trip porté par un rythme rapide, quelques bonnes répliques et surtout la performance de Kieran Culkin.
La saison 1 est terminée, donc je peux maintenant le crier : la première saison de Votre fidèle serviteur Spider-Man est excellente !