Critique : Sweet Tooth – Saison 1
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Après Locke & Key et Jupiter’s Legacy, j’ai lancé Sweet Tooth sans grande espérance. Eh ben, je n’ai pas été déçu du voyage.
Au loin de jouer sur le côté fantastique de Luca, Pixar reste focus sur l’histoire d’une amitié d’été dans un cadre italien paradisiaque.
On prend sa crosse de hockey, son putter et sa main en bois. Aujourd’hui, c’est Happy Gilmore. Avec le Sandman.
Une extension fort sympathique d’une durée tournant autour de 6 heures autour d’un personnage plutôt marrant. De quoi patienter.
John Krasinski confirme qu’il est un réalisateur à suivre en pondant, avec Sans un bruit 2, une suite du même acabit que le premier.
Après une excellente entrée en matière nous invitant à découvrir un tout nouvel univers, ce deuxième épisode s’attache à poser les enjeux.
En faisant un remake du film Le convoyeur (2004), Guy Ritchie nous fait un James Cameron en mode La totale ! (1991) => True Lies (1994).
Bande-annonce pour le jeu vidéo Les Gardiens de la Galaxie par Eidos Montréal et pour l’extension Black Panther de Marvel’s Avengers.
On prend sa table d’Ouija, son pendule et on suit la lumière blanche. Aujourd’hui, c’est Fantômes contre fantômes.
Je me suis planté en pensant que ce Nier était un « nouveau » Nier étant donné que je n’avais jamais fait la version japonaise.
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Dans le premier épisode de Loki, Un destin exceptionnel, durant un flash-back représentant l’espièglerie de Loki préférée de Mobius.