Critique : Kill The Gringo
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
Chez Le blog de Marvelll, on adore regarder des films, mais aussi les critiquer et toujours subjectivement sinon ce n’est pas du jeu. Vous pouvez retrouver toutes les critiques du site dans cette catégorie, qu’elles soient pourries ou excellentes.
Mel Gibson était l’un des acteurs les plus bankables des années 80 et 90. Depuis, il est tombé dans les limbes des has been.
God Bless America repose sur un pitch génial malheureusement sabordé trop vite. Si le début est assez jubilatoire, le reste l’est moins.
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
Le combo Murphy / Robbins / Koren laisse présager le pire. Mais la catastrophe annoncée n’est pas arrivée.
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le film du russe Alexandr Sokurov s’inspire du héros allemand d’un conte du 16ème siècle dont Goethe s’est inspiré pour écrire deux pièces.
Avec Les Grands Frères, David Wain et Ken Marino avaient signé une bonne comédie. On pensait qu’ils allaient rééditer la prestation.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.