Critique : Assassin’s Creed Valhalla
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
La saga Assassin’s Creed n’est devenue que l’ombre d’elle-même. Un monde ouvert avec des centaines de trucs à faire, mais rien d’intéressant.
La folie WandaVision continue. On vient à peine de dépasser la moitié de la saison, mais c’est déjà dingue. Quelle série !
La sitcom prend un pause et on revient à un format plus classique pour éclaircir le mystère. Le tout donne une belle réussite.
Les choses s’accélèrent. C’est ce qu’on peut retenir de cet épisode de WandaVision à l’aspect sitcom moins prononcé.
On ne nous avait pas menti. Avec WandaVision, Marvel Studios a bien l’intention d’offrir un voyage déroutant dans le MCU.
Je m’attendais au pire et j’ai été agréablement surpris. Certes, il y a tous les clichés de la romcom mais il y a aussi cette magie unique.
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
Une conclusion pour la série où on est embarqué par la reconstitution historique, le drame, la romance et l’humour. Toujours aussi délicieux.
L’avantage avec Netflix, c’est qu’ils proposent tellement de films que tu tombes parfois sur des perles avec le plaisir de la découverte.
Avec 200 millions de budget, Alita: Battle Angel est un gros blockbuster. L’ensemble n’est pas parfait mais si généreux.