Critique : Conjuring : Sous l’emprise du Diable
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Reposant sur le principe de la boucle temporelle, Joe Carnahan balance un gros film d’action bourré d’humour et d’ingéniosité.
WandaVision était une série jouant tellement avec nos attentes que la voir revenir à des rails plus classiques a de quoi décevoir légèrement.
Je m’inquiétais du fait que je n’avais joué à aucun des épisodes précédents de la trilogie. Au final, ce n’est pas si grave.
Quel épisode ! Quel épisode ! Ouais, je sais, je me répète, mais mince, quel épisode ! Mon préféré de la saison, de loin devant les autres.
Palm Springs lorgne sur le territoire du culte Un jour sans fin en étant une comédie romantique impliquant une boucle temporelle.
Avec ce problème de rythme hérité de l’épisode précédent, WandaVision se part tout de même d’un bel hommage et d’excellents moments.
Jusqu’ici, l’épisode le moins bon à mon goût avec un hommage sitcomien trop léger et une intrigue n’avançant pas des masses.
La folie WandaVision continue. On vient à peine de dépasser la moitié de la saison, mais c’est déjà dingue. Quelle série !
La sitcom prend un pause et on revient à un format plus classique pour éclaircir le mystère. Le tout donne une belle réussite.