Critique : Dark Shadows
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Un spin-off de Resident Evil avec les méchants comme héros. Pas mal l’idée, sauf que, bien sûr, c’est inexploité niveau scénario.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Si le premier jouait beaucoup sur une atmosphère angoissante, cette suite mise sur l’horreur et une atmosphère inquiétante.
La première saison avait fait l’objet d’une curiosité surtout que c’était à la base un comic populaire. Qu’en est-il de sa suite ?
En cette période où les bons jeux se font rare, je me suis dit que c’était peut-être le moment de revenir aux vieux amours.
[REC]³ Genesis devait être une comédie horrifique, seulement Paco Plaza foire dans les deux genres, ne reste plus qu’une œuvre dégénérée.
Film d’atmosphère au rythme lent et à l’intensité digne d’un cent mètres d’un escargot, Babycall décevra les fans de film de frisson.
Les zombies, on en a eu de toutes les sauces, la nuit, le jour, au centre commercial, dans des supérettes, dans des avions mais en Afrique ?
Passé dans pas mal de festivals, Kill List a acquis une bonne réputation. Je lance donc le film sans aucune appréhension.
Un FPS classique sublimé par une belle histoire bien mise en scène. Ce qu’il perd en liberté, il le gagne en richesse du scénario.
Grosse surprise nous provenant des esprits du créateur de Nip/Tuck, la série American Horror Story fait un peu figure d’OVNI.