Critique : Misfits – Saison 4
On disait de Misfits qu’il avait perdu un pilier suite au départ de Nathan. Cette fois-ci, ils sont tous partis.
On disait de Misfits qu’il avait perdu un pilier suite au départ de Nathan. Cette fois-ci, ils sont tous partis.
Maniac est une curiosité par son choix d’être entièrement en vue subjective et réussit pleinement sa mission malgré ses quelques défauts.
Après une première saison décevante car trop prévisible, la série Homeland décolle avec cette deuxième saison.
Qui est cette créature à crête avec un haut rouge essayant de se raser avec un flingue tout en étant accroupi à côté d’un mec enterré ?
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Tom Cruise de Nazareth a ressuscité à l’occasion de la sortie de Mission : Impossible – Protocole fantôme et il continue avec Jack Reacher.
Le nœud coulant se resserre autour du cou de Dexter et la chaise, l’empêchant de basculer dans le vide, devient de plus en plus branlante.
Après la déception des deux addons d’Assassin’s Creed 2, Ubisoft semble vouloir marquer un gros coup avec ce troisième épisode.
Un portrait d’une famille dévorée par le cancer de l’argent. Une bonne idée si la narration n’était pas aussi asthmatique.
Je vous préviens, la critique qui va suivre ne sera pas élogieuse, au contraire même, elle va… comment dirais-je… noyer le film.