Critique : Robot and Frank
Robot and Frank est un joli conte moderne sur une amitié hors du commun, sur la vieillesse, la maladie et… les robots.
Robot and Frank est un joli conte moderne sur une amitié hors du commun, sur la vieillesse, la maladie et… les robots.
Premier film de Vera Farmiga d’après les mémoires de Carolyn S. Briggs. On s’attend au film un peu chiant, intéressant mais un peu chiant.
Difficile de reprocher quoi que ce soit au blu-ray de Titanic qui est probablement ce qui se fait de mieux dans le domaine.
Sleeping Dogs aurait pu être un excellent jeu s’il n’était pas pénalisé par des défauts trop lourds comme les nombreux bugs.
Sur un sujet emballant et avec un casting plutôt pas mal, Voisins du troisième type foire dans les grandes largeurs.
Ted, la peluche ayant fait fureur au pays de l’oncle Sam, débarque enfin chez nous, précédée d’une excellente réputation.
Des hommes sans loi, malgré son casting bankable, est surtout le nouveau film de John Hillcoat, derrière l’excellent La Route.
Samuel L. Jackson et Luke Wilson, une affiche classe, un synopsis prometteur et un titre rappelant J’ai rencontré le diable. J’en suis.
Mon oncle Charlie est mort ? Viré du show après des frasques jugées inacceptables, beaucoup présageait le début de la fin pour Charlie Sheen.
Il était une fois un chevalier invisible au service d’un roi silencieux. Voilà comment on pourrait définir Touch.