Critique : Origines secrètes
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Bon, on ne va pas dire que ça vole haut. En même temps, vu le sujet. Néanmoins, ça reste sympathique et rythmé avec quelques bonnes blagues.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.
Attention, il ne s’agit pas ici de raconter l’Histoire du jeu vidéo, mais plutôt partager des histoires diverses durant l’âge d’or.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Alors là, celui-là, je ne vais pas le rater. Déjà, parce qu’il y a un casting exceptionnel, mais en plus, la bande-annonce, quelle claque.
Documentaire classique, mais efficace sur la légende Disney, Howard Ashman, le parolier mort du sida à l’âge de 40 ans. Intéressant et beau.
Malgré quelques coups d’éclat et une meilleure gestion du rythme, j’ai été déçu par cette deuxième saison à cause d’un sentiment de déjà-vu.
Un documentaire classique revenant sur la carrière de Nicolas Anelka et s’attardant particulièrement à rétablir la vérité sur Knysna.
Moins bonne que les saisons précédentes, Laney reste tout de même passionnant à suivre grâce à son coach et ses trois jeunes mémorables.