Critique : Tyler Rake
S’il fallait faire un pitch grossier, je dirais : Thor dans le rôle de John Wick va en Inde pour se faire un délire Man on Fire.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
S’il fallait faire un pitch grossier, je dirais : Thor dans le rôle de John Wick va en Inde pour se faire un délire Man on Fire.
Encore un film Netflix pas glorieux, on est un peu habitué, mais tout de même traversé par des éclaircies dont une géniale Betty Gilpin.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.
Une version pauvre de The End of the F***ing World. La faute à une héroïne insupportable et une écriture moins percutante.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Crisis Jung est un animé made in France totalement taré se réappropriant les codes des animés japonais époque Club Dorothée.
Au lieu de se contenter de coller au plus près des comics, on nous a pondus une série pour adolescents. Lisez les comics, ça vaut mieux.
Pour ses débuts, je n’ai pas trouvé The Witcher spécialement transcendant. La faute notamment à des défauts assez lourds malgré des qualités.
La nouvelle série du duo de Sherlock, Dracula, fait partie de ces rares séries qui commencent bien et qui finissent mal (dédicace à GoT).
Attendez, qu’est-ce qui se passe chez Netflix ? Michael Bay accompagné par le trio de Deadpool ? Avec un budget de 150 millions de dollars ?!