Critique : Enola Holmes
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Service de vidéo à la demande créé en 1997 par Reed Hastings et Marc Randolph.
Malgré ses bonnes idées et un début en fanfare, je n’ai pas réussi à accrocher à Enola Holmes. En même temps, je ne suis pas le public visé.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Même si moins efficace que le premier, The Babysitter: Killer Queen demeure une bonne comédie horrifique où je me suis bien marré.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Avec Les Phénomènes, l’Allemagne propose sa vision des super-héros. Bon, ça ne vole pas haut, mais c’est bien foutu malgré un climax décevant.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.
Attention, il ne s’agit pas ici de raconter l’Histoire du jeu vidéo, mais plutôt partager des histoires diverses durant l’âge d’or.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Alors là, celui-là, je ne vais pas le rater. Déjà, parce qu’il y a un casting exceptionnel, mais en plus, la bande-annonce, quelle claque.