Critique : Homeland – Saison 1
Vainqueur de 4 Emmy, Homeland est une série dont l’un des créateurs a été longtemps scénariste sur 24 heures chrono.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Vainqueur de 4 Emmy, Homeland est une série dont l’un des créateurs a été longtemps scénariste sur 24 heures chrono.
Un écrivain has-been déménage dans une maison ayant abrité un meurtre affreux et découvre dans le grenier des snuff movies…
Après avoir visité Paris et accessoirement retrouvé sa fille paumée dans les rues de la capitale, Liam Neeson va visiter Istanbul.
8 candidats, 1 feuille et 80 mn. Seul objectif : répondre à la question… mais ils n’ont pas la question ! Le pire entretien d’embauche.
Décidément, il fait bon d’être fan de Resident Evil. Après le film live et avant le jeu vidéo, voici le nouvel épisode de la saga.
Resident Evil: Retribution était flippant, surtout après le naufrage du précédent. Un naufrage plus impressionnant que celui du Titanic.
Savages a un but : être le cri primitif d’Oliver Stone pour dire : Non, je ne suis pas mort ! Il faut dire que l’ancêtre a perdu la main.
Un épisode spin-off, histoire de souffler avant de revenir à ce qui nous intéresse vraiment : Jason Bourne.
Samuel L. Jackson et Luke Wilson, une affiche classe, un synopsis prometteur et un titre rappelant J’ai rencontré le diable. J’en suis.
Il était une fois un chevalier invisible au service d’un roi silencieux. Voilà comment on pourrait définir Touch.