Critique : The Last of Us Part II (avec spoilers)
Ses nombreux défauts empêchent The Last of Us Part II d’atteindre le statut de chef d’œuvre dans mon cœur, mais il n’en est pas loin.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Ses nombreux défauts empêchent The Last of Us Part II d’atteindre le statut de chef d’œuvre dans mon cœur, mais il n’en est pas loin.
Pour son Endgame, Ip Man part en voyage aux States pour lutter à nouveau contre le racisme et l’injustice grâce à sa maîtrise de la bagarre.
Pour Netflix, Spike Lee livre un long-métrage engagé, parfois intéressant, mais malheureusement trop bancal pour se montrer réussi.
Pas un biopic sur la vie de Capone, mais sur ses derniers jours alors qu’il sombre dans la folie. Bref, un film stylé mais soporifique.
Une histoire vraie ne consistant pas à découvrir la vie de monsieur Rogers mais plutôt à vivre l’expérience d’une de ses leçons
Timmy Failure raconte, avec beaucoup d’humour et d’idées, l’histoire d’un garçon persuadé d’être le plus grand détective.
Je l’ai vu avec l’intention de ne pas laisser une larme couler. Mission réussie, ce n’est pas une larme qui a coulé, mais une dizaine.
Je n’attendais rien de L’Appel de la forêt. J’ai été horrifié en découvrant le chien numérique, mais j’ai finalement par répondre à l’Appel.
Sans réelle surprise, Bloodshot est une adaptation de comic qui se sert du nom pour survendre un actionner estampillé Vin Diesel.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.