Critique : WandaVision – E3 « On passe à la couleur »
Les choses s’accélèrent. C’est ce qu’on peut retenir de cet épisode de WandaVision à l’aspect sitcom moins prononcé.
Le genre « drame » explore les émotions humaines et les conflits personnels, offrant des histoires riches en intensité émotionnelle et en quête de vérité.
Les choses s’accélèrent. C’est ce qu’on peut retenir de cet épisode de WandaVision à l’aspect sitcom moins prononcé.
En toute franchise, je m’attendais à un truc moyen. C’est agréablement surpris que j’ai découvert une série superbement rythmé.
On ne nous avait pas menti. Avec WandaVision, Marvel Studios a bien l’intention d’offrir un voyage déroutant dans le MCU.
La saison de trop ? Je me pose la question tant cette troisième partie de Cobra Kai peine à se renouveler.
La bande-annonce laissait espérer une aventure spatiale ambitieuse. Le résultat est surtout plombé par un rythme monotone.
Le Blues de Ma Rainey fait partie de la liste des films préférés de Barack Obama en 2020 et c’est mérité. Mention spéciale à Boseman.
Dans Mank, Louis Mayer dit qu’une bonne œuvre doit prendre à la tête, au cœur et aux couilles. David Fincher en touche deux sur trois.
Entouré d’une désastreuse réputation, le film Disney réadaptant La Ballade de Mulan sort directement sur Disney+ et j’ai plutôt bien aimé.
Une de ses meilleures saisons de The Crown. Du moins, la plus équilibrée au niveau de la qualité. Le tout sur des sujets fascinants.
Une fois surmontée, la déception de ne pas avoir une adaptation de Lovecraft, je me suis bien régalé vu la générosité de la série.