Critique : Cyberpunk 2077 : Phantom Liberty
À la manière de Blood & Wine pour The Witcher 3, Phantom Liberty est une extension indispensable pour Cyberpunk 2077.
À la manière de Blood & Wine pour The Witcher 3, Phantom Liberty est une extension indispensable pour Cyberpunk 2077.
Avec sa conclusion, la série Hawkeye confirme tout le bien que j’en pensais. Pour tout dire, c’est même ma série Marvel Studios préférée.
Cet épisode prend le soin de faire la liaison avec le film Black Widow tout en introduisant un événement de taille.
Plus posé que l’épisode précédent, histoire de préparer la suite, mais pas anecdotique. La série Hawkeye ne cesse pas de me ravir.
Quelle claque, cet épisode. Entre Maya « Echo » Lopez et ses deux scènes d’action sans oublier sa représentation de la surdité.
J’attendais beaucoup de la série live Cowboy Bebop, je voulais même la voir avant de regarder l’animé, mais elle a foiré son casting.
Ce deuxième épisode confirme tout le bien que je pense de la série avec un duo Clint Barton et Kate Bishop faisant des étincelles.
S’il n’était pas le projet le plus attendu du MCU, force est de constater que sur ce premier épisode, Hawkeye fait déjà mouche dans mon cœur.
Alors Red Notice, c’est Black Adam, Deadpool et Wonder Woman qui sont des voleurs, des flics, des archéologues, des cinéphiles et j’en passe.
Ayant adoré la série Les Soprano, il fallait absolument que je vois Many Saints of Newark. Malheureusement, je n’en retiens pas grand-chose.