Critique : Very Bad Trip 2
On reprend exactement les mêmes et on recommence pour un nouveau trou noir. Après tout, pourquoi changer une équipe qui gagne ?
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
On reprend exactement les mêmes et on recommence pour un nouveau trou noir. Après tout, pourquoi changer une équipe qui gagne ?
Donner les rênes à Rob Marshall a provoqué une grosse surprise. Ce dernier ne s’étant signalé que par des drames ou des comédies musicales.
Quel plaisir de voir un Woody Allen majeur, encore plus quand celui-ci se déroule dans notre capitale, Paris.
Califonication n’est pas pour tout le monde. Les prudes du monde entier vont crier au scandale… Le reste va s’éclater comme des petits fous.
Alors qu’on était habitué à voir Vince Vaugn et Kevin James dans des comédies calibrés pour faire rire, Le Dilemme s’en écarte.
Le film est bien mené au début, on se marre bien. Certaines blagues sont simplement énormes, mais attention à ne pas amener vos gosses…
Une grosse déception pour ce film où finalement on ne voit pas grand-chose de nouveau (tout ayant déjà été abordé autre part).
Après un générique assez malin, le film commence à se chercher. Est-ce que je serais un slasher ou une comédie ? Telle est la question.
Dans un style épuré et rock (avec du Placebo et Nirvana), Kaboom nous plonge dans l’univers joyeux des campus américains.
Culte ! Époustouflant ! Magique ! Drôle ! Tous ces superlatifs définissent parfaitement le film et je pourrais en trouver d’autres.