Critique : Terri
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.
Avec la bande annonce, j’avais la désagréable sensation comme un sixième sens de l’Araignée que le nouveau Men In Black y montrait tout.
Une impression marrante sur le disque où on peut voir une fausse pizza inspirée de la très bonne pub du film.
Les films d’Anderson offrent une particularité peu commune au cinéma, un « je-ne-sais-quoi » les classant hors catégorie.
C’est l’heure des adieux. Après nous régalé durant sept saisons, voici la dernière saison de ces femmes aux foyers.
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Indian Palace est une adaptation d’un roman avec un flegme typiquement britannique et une belle brochette d’acteurs anglais.
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Récemment, je regrettais de pas bénéficier d’une aventure légère et amusante dans l’Ouest mythique, c’était sans compter sur Doc West.
Si Friends doit à Seinfeld, Happy Endings s’inspire de Friends à tel point que l’intituler Friends 2.0 ne serait pas une insulte.