Critique : Captain America: First Avenger
Thor et Iron Man nous avaient mis une claque et comme un signe, le plus grand Vengeur s’impose avec le meilleur film Marvel jamais sorti.
Thor et Iron Man nous avaient mis une claque et comme un signe, le plus grand Vengeur s’impose avec le meilleur film Marvel jamais sorti.
J.J. Abrams nous livre un délicieux hommage à nos films de jeunesse et nos gosses vont pouvoir avoir un modèle..
L’ensemble est plutôt sympathique mais sans voler loin. En tout cas, on sait maintenant que ça donne La guerre des boutons au Japon.
Le seul puzzle-game qui aura réussi à m’accrocher plus d’une heure. Que demander de plus ? Tout simplement Portal 3 !
Preacher n’est pas pour tout le monde. La religion y passe à la moulinette avec une révélation marrante sur la résurrection de Jésus.
Les coréens nous ont toujours régalés avec des thrillers trépidants à tel point que beaucoup ont renié ceux provenant des States.
On attendait le nouveau Shaun of the Dead, on aura juste un premier film souffrant de défauts mais dégageant une atmosphère sympathique.
L’unique. Un anneau pour les gouverner tous. Un anneau pour les trouver. Un anneau pour les amener tous et dans les ténèbres, les lier.
Il ne faut pas plus d’un numéro pour comprendre le statut d’œuvre magistrale de Preacher. Un de ces albums qui nous font aimer les comics.
Plutôt moyen, le film, sur un sujet intéressant trop peu exploité (servant plus de prétexte), n’est sauvé que par une excellente scène .