Critique : La Cabane dans les bois
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Signé par deux mecs assidus aux trames tordues, La Cabane dans les bois promettait du jamais-vu mais combien de fois a-t-on lu cette phrase…
Auteur d’un Crime City sympathique avec le ghost dog pas aidé par ses yeux, Baltasar Kormakur remet ça avec un bon casting.
Récemment, je regrettais de pas bénéficier d’une aventure légère et amusante dans l’Ouest mythique, c’était sans compter sur Doc West.
Le bonus obligatoire demeure la featurette : Qui est le vrai William Shakespeare ? Les acteurs reviennent sur ce passionnant débat.
Si Friends doit à Seinfeld, Happy Endings s’inspire de Friends à tel point que l’intituler Friends 2.0 ne serait pas une insulte.
Après une nuit de folie dans SuperGrave où il trainait avec son meilleur ami, Jonah Hill se retrouve seul avec trois gosses.
Après les deux épisodes de Phantasmagoria, je voulais revenir sur un autre point & click qui m’avait marqué. La saga Gabriel Knight.
Le film a pour but est de capter l’air d’un temps où les hésitations sont fortes, où on ne sait pas de quoi la vie est faite.
Fantasme des lecteurs de comics, Avengers représentaient la quintessence des super-héros Marvel, loin devant les X-Men et les 4 Fantastiques.
Lock Out, c’est typiquement le nanar sympa du 21ème siècle : des idées, de l’action emballé, des personnages marrants, des répliques chocs.