Critique : The Dictator
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
Le combo Murphy / Robbins / Koren laisse présager le pire. Mais la catastrophe annoncée n’est pas arrivée.
Marley, pour moi, c’était avant tout une image. Une image où on le voyait micro à la main, dreadlocks au vent, sueur perlant sur le front.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
Le film du russe Alexandr Sokurov s’inspire du héros allemand d’un conte du 16ème siècle dont Goethe s’est inspiré pour écrire deux pièces.
Le grand retour de Max Payne était attendu depuis des années. Comment oublier les deux aventures teintées de polar noir ?
Avec Les Grands Frères, David Wain et Ken Marino avaient signé une bonne comédie. On pensait qu’ils allaient rééditer la prestation.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.
The North Remembers. On n’a pas oublié la décapitation de la Main du Roi sur l’ordre de Joffrey, ni le climax de folie avec les dragons.