Critique : Terminator : Dark Fate
Je m’attendais à être déçu par Terminator : Dark Fate comme je l’avais été par les autres suites. Heureusement, la réalité est autre.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Je m’attendais à être déçu par Terminator : Dark Fate comme je l’avais été par les autres suites. Heureusement, la réalité est autre.
In the Shadow of the Moon est une série B comme si elle était sortie dans les années 80. Ça se digère bien sans être de la gastronomie.
Après un début poussif, la série Dark Crystal finit par prendre ses aises et déploie une intrigue captivante dans un univers riche.
Ad Astra est une formidable adaptation d’Apocalypse Now / Au cœur des ténèbres dans l’espace où Brad Pitt fait des étincelles.
La série Legion a traversé le paysage télévisuel tel un OVNI. Les trois saisons forment un tout d’une inventivité exceptionnelle.
Avant de commencer ma séance, j’espérais que le monde avait été trop dur avec ce reboot d’Hellboy. Malheureusement, ça n’a pas été le cas.
Amazon a trouvé sa série phare. Le comic d’origine est un pur joyau que je pensais inadaptable. Sauf que ces cons l’ont fait !
Pour Stranger Things 3, les frères Duffer délaissent les saisons hivernales pour basculer en été. Un changement permettant la redécouverte.
Et si Superman avait viré vilain ? C’est en partant de ce pitch que Brian et Mark Gunn ont développé Brightburn: L’Enfant du mal.
Avec cette nouvelle itération des (Wo)Men in Black qui n’est pas un reboot mais un spin-off, j’espérais que la saga reparte du bon pied.