Critique : Gatsby le Magnifique
Baz Luhrmann, c’est Roméo + Juliette, Moulin Rouge et Australia. Cette fois-ci, il retourne à ses premiers amours : une adaptation et Leo.
Baz Luhrmann, c’est Roméo + Juliette, Moulin Rouge et Australia. Cette fois-ci, il retourne à ses premiers amours : une adaptation et Leo.
Et si le meilleur film de l’année venait de Belgique ? Je ne savais pas trop quoi à m’attendre avec Alabama Monroe.
Révélé par Tous les garçons aiment Mandy Lane, Jonathan Levine est désormais dans le vent et son nouveau projet a tout pour plaire.
Splendide visuellement, Upside Down souffre d’un background pas assez étoffé et de nombreuses incohérences.
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.
Lorsque j’appris qu’ils allaient adapter Les Misérables, ma réaction fut : pfff, ces américains… Mais bon, il s’agit de la comédie musicale.
Une mini-série sympa à suivre mais souffrant de beaucoup de défauts l’empêchant d’accéder à un meilleur statut.
David O. Russell est désormais un cinéaste attendu depuis Fighter. Pour l’occasion, il réalise l’adaptation du livre Silver Linings Playbook.
La grande force de The Words réside dans son scénario alliant justesse et intelligence mais le casting est loin de tenir la cadence.
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.