Critique : Sublimes créatures
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.
Ce film avait tout pour provoquer une allergie m’obligeant à aller voir un dermatologue. Il avait tout… sauf l’essence.
Lorsque j’appris qu’ils allaient adapter Les Misérables, ma réaction fut : pfff, ces américains… Mais bon, il s’agit de la comédie musicale.
Une mini-série sympa à suivre mais souffrant de beaucoup de défauts l’empêchant d’accéder à un meilleur statut.
David O. Russell est désormais un cinéaste attendu depuis Fighter. Pour l’occasion, il réalise l’adaptation du livre Silver Linings Playbook.
La grande force de The Words réside dans son scénario alliant justesse et intelligence mais le casting est loin de tenir la cadence.
Une comédie romantique à l’américaine classique mais sympathique, sorte de cousin cinématographique de Glee.
Une comédie sur un ton léger, tellement léger qu’on a parfois l’impression de flotter seulement certaines lourdeurs nous renvoient sur terre.
Difficile de reprocher quoi que ce soit au blu-ray de Titanic qui est probablement ce qui se fait de mieux dans le domaine.
Sur un synopsis intéressant, The Lucky One finit par balancer ce qui faisait son originalité pour se concentrer sur une love story banale.
5 ans de réflexion est né sous l’impulsion d’un trio très connu dans le monde de la comédie : Judd Apatow, Nicholas Stoller et Jason Segel.