Critique : A Girl Walks Home Alone at Night
L’affiche était prometteuse surtout avec cette citation du New York Times (« Aussi cool que Rock’n’Roll »). Intrigué, je rentre dans la salle…
L’affiche était prometteuse surtout avec cette citation du New York Times (« Aussi cool que Rock’n’Roll »). Intrigué, je rentre dans la salle…
Paul Haggis (Collision) revient avec un mec auquel il ne faut pas prendre la fille, Liam Neeson, pour faire un puzzle destiné aux 7 à 77 ans.
Une nouvelle comédie romantique avec Cameron Diaz et le tout, sous la houlette du réalisateur de N’oublie jamais. Ça peut être pas mal ?
Encore une comédie américaine bidon… Ouais, mais c’est Nick Cassavetes à la réalisation et le gars n’est pas mauvais.
Après les cartons d’Alice au pays des merveilles et Le Monde fantastique d’Oz, Disney a senti le filon et balance Maléfique.
Malgré des critiques mitigées, j’avais envie de voir Charlie Countryman. Rien que pour Mikkelsen. Néanmoins, à quoi s’attendre de ce film ?
Il y a de ces films comme ça que tu n’as pas trop envie de voir, mais tu finis par tenter le coup et finalement, tu as un coup de cœur.
Après son catastrophique Resident Evil, difficile pour moi de croire que Paul W.S. Anderson soit capable de pondre un bon film.
Réaliser Her peut faire peur tant le projet est extrêmement culotté, mais ce n’est pas la première fois que Spike Jonze prend des risques.
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini.