Critique : Triple alliance
Encore une comédie américaine bidon… Ouais, mais c’est Nick Cassavetes à la réalisation et le gars n’est pas mauvais.
Encore une comédie américaine bidon… Ouais, mais c’est Nick Cassavetes à la réalisation et le gars n’est pas mauvais.
Après les cartons d’Alice au pays des merveilles et Le Monde fantastique d’Oz, Disney a senti le filon et balance Maléfique.
Malgré des critiques mitigées, j’avais envie de voir Charlie Countryman. Rien que pour Mikkelsen. Néanmoins, à quoi s’attendre de ce film ?
Il y a de ces films comme ça que tu n’as pas trop envie de voir, mais tu finis par tenter le coup et finalement, tu as un coup de cœur.
Après son catastrophique Resident Evil, difficile pour moi de croire que Paul W.S. Anderson soit capable de pondre un bon film.
Réaliser Her peut faire peur tant le projet est extrêmement culotté, mais ce n’est pas la première fois que Spike Jonze prend des risques.
C’est avec une tendresse particulière que j’ai regardé All About Albert, car il s’agit du dernier film de James Gandolfini.
Avant tout la série DE Mindy Kaling. On la connaissait sous le nom de Kelly Kapoor, l’insupportable chieuse dans la série The Office.
Au final, The Immigrant est probablement le plus mauvais James Gray (je suppute, n’ayant pas vu The Yards).
Quand il s’agit de se disputer Reese Witherspoon, entre Chris et Tom, tous les coups sont permis ! Même dans les sacrosaintes couilles !