Critique : The Amazing Spider-Man
Pour les cinquante ans de l’Araignée (apparue dans l’Amazing Fantasy d’août 1962), Sony nous offre un reboot: The Amazing Spider-Man.
Le genre « fantastique » nous transporte dans des mondes imaginaires remplis de magie, de créatures étonnantes et d’aventures épiques.
Pour les cinquante ans de l’Araignée (apparue dans l’Amazing Fantasy d’août 1962), Sony nous offre un reboot: The Amazing Spider-Man.
Après la Blanche Neige de Disney, de Tarsem Singh, voici venir la plus sombre. Une relecture adulte du mythe de la plus belle d’entre tous.
On avait fini la saison dernière en paumant Peter comme des vulgaires clés. On a beau demander à l’équipe, personne ne s’en souvient…
Tim Burton livre un film soap opera sympathique dont vous aurez pratiquement tout oublié le lendemain du visionnage.
Tarsem est un homme visuel, privilégiant systématiquement la forme au fond alors on se dit que c’est une bonne idée de reprendre un conte…
Le premier épisode était réalisé par le responsable de L’incroyable Hulk. Un film moyen qui se regardait pour le plaisir.
Encore un film fantastique espagnol ? Ne le dites pas à Yannick Noah, il va les accuser de dopage et c’est Nadal qui va faire la gueule.
Sans aucune surprise, le départ de Nathan fait beaucoup de mal à la série. Les épisodes perdent un peu en saveur.
Rien que la présence sur l’affiche de The Rock m’a convaincu d’aller voir ce film même si je n’ai pas vu le premier opus.
Après un premier épisode catastrophique dont je ne me rappelle que d’une seule scène hallucinante, cette suite me laissait envisager le pire.
Grosse surprise nous provenant des esprits du créateur de Nip/Tuck, la série American Horror Story fait un peu figure d’OVNI.
Le premier King Rising fut un succès surprise pour Uwe Boll et sa clique, il faut dire que le bonhomme était plus connu pour ses bouses.