Critique : Umbrella Academy – Saison 2
Malgré quelques coups d’éclat et une meilleure gestion du rythme, j’ai été déçu par cette deuxième saison à cause d’un sentiment de déjà-vu.
Malgré quelques coups d’éclat et une meilleure gestion du rythme, j’ai été déçu par cette deuxième saison à cause d’un sentiment de déjà-vu.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
Un vrai mauvais film et Netflix avait laissé un gros indice : ils l’ont sorti sans aucune promotion malgré une actualité pauvre.
Pas un biopic sur la vie de Capone, mais sur ses derniers jours alors qu’il sombre dans la folie. Bref, un film stylé mais soporifique.
En attendant de voir Kumail Nanjiani en Éternel, on se contentera d’une comédie à la Crazy Night où un couple vit la pire nuit de sa vie.
Ayant grandi dans les années 80 en m’abreuvant de buddy cop movies, difficile de ne pas apprécier le retour aux sources.
Entre les cases Arnaques, Crimes et Botanique & Snatch et Rock’n Rolla, le nouveau Ritchie, The Gentlemen, se range dans la première. Ouf.
Après Crisis Jung, encore une perle par Bobbypills. On part en voyage vers un nouvel univers entre 1001 Pattes et Zootopie, mais hardcore.
Après un début plutôt maladroit, Bad Boys for Life finit par enclencher la nitro pour offrir un buddy cop movie efficace.
Pour résumer Birds of Prey, en fait, c’est Harley Quinn… et les Birds of Prey. Ça déchire pendant la première demi-heure puis l’ennui.