Critique : Iron Sky
Iron Sky est une production atypique reposant sur une idée complètement farfelue : et si les nazis vivaient toujours sur la lune ?
Le genre « comédie » fait rire les spectateurs avec des situations cocasses, des dialogues hilarants et des personnages excentriques.
Iron Sky est une production atypique reposant sur une idée complètement farfelue : et si les nazis vivaient toujours sur la lune ?
Quel dommage que Fight Games ne soit pas sorti au ciné. Malgré la présence de Seann William Scott, son thème le rend non éligible.
Piranha 3DD ?! Non sérieux, ils ont osé ? Deux fois plus de gore, deux fois plus de nichons ? Je suis au taquet !
God Bless America repose sur un pitch génial malheureusement sabordé trop vite. Si le début est assez jubilatoire, le reste l’est moins.
Après Borat et Brüno, le duo Larry Charles et Sacha Baron Cohen rempilent pour une nouvelle comédie. Mais sans passage « documentaire ».
Le combo Murphy / Robbins / Koren laisse présager le pire. Mais la catastrophe annoncée n’est pas arrivée.
Avec Les Grands Frères, David Wain et Ken Marino avaient signé une bonne comédie. On pensait qu’ils allaient rééditer la prestation.
Adapté de la série 21 Jump Street, le 2ème long-métrage des réal’ de Tempête de boulettes géantes surfe sur le phénomène de réadaptation.
Jeff Who Lives at Home marque la confrontation entre deux stars du petit écran et en devenir au cinéma : Jason Segel et Ed Helms.
Une comédie dramatique dont la finesse n’a de contrepoids que le tour de taille de Terri. On y trouve l’assurance d’un moment sans pathos.