Critique : Oppenheimer
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Depuis Inception, je n’arrive plus à accrocher au cinéma de Nolan. Malheureusement, ce ne sera toujours pas le cas avec Oppenheimer.
Même si Winning Time est annulée au terme de sa saison 2, elle reste tout de même une série must-see grâce à son style et son sujet.
Je regarde du basket. Je lis du basket. Je mange, respire, vis basket. Et oui, c’est ça le basket, c’est une passion.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Alors là, celui-là, je ne vais pas le rater. Déjà, parce qu’il y a un casting exceptionnel, mais en plus, la bande-annonce, quelle claque.
Cette adaptation du roman de Stephen King, Simetierre, n’en conserve pas l’essence et se révèle être un énième film d’horreur fade.
Damien Chazelle alias le bonhomme qui a réussi en deux films à récupérer deux 10/10 de ma part. Va-t-il réussir le triplé ?
Si je recommande ce film fantastique, c’est avec conviction que tu vas apprendre quelque chose sur l’aspect spirituel des armes à feu.
Depuis Whisplash, je suis la carrière de Damien Chazelle comme son ombre. Et ce n’est pas La La Land qui m’a fait changer d’avis.
On est qu’en automne, mais au cinéma, on a déjà droit à la neige. Par contre, pas question de faire des boules, il faut affronter l’Everest !