Critique : Le Diable, tout le temps
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Parce que chez Le blog de Marvelll, on est des fous de cinéma, on a donc besoin d’en parler encore et encore. Cette catégorie résume toutes les divagations de ses rédacteurs dans le genre.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Même si moins efficace que le premier, The Babysitter: Killer Queen demeure une bonne comédie horrifique où je me suis bien marré.
Le troisième Ant-Man vient de frapper un gros coup en dévoilant l’identité de son vilain. Il s’agit du voyageur temporel, Kang le Conquérant.
Un film familial classique porté par un excellent Bryan Cranston et une galerie d’animaux à la fois criants de réalisme et attachants.
36 ans après la version de David Lynch et 20 ans après la série, Dune revient avec un casting digne d’un Avengers.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Avec Les Phénomènes, l’Allemagne propose sa vision des super-héros. Bon, ça ne vole pas haut, mais c’est bien foutu malgré un climax décevant.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Bon, on ne va pas dire que ça vole haut. En même temps, vu le sujet. Néanmoins, ça reste sympathique et rythmé avec quelques bonnes blagues.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.