Critique : Conjuring : Sous l’emprise du Diable
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Rien de spécial à se mettre sous la dent avec ce troisième Conjuring et huitième film de l’Univers cinématographique Conjuring.
Pour faire Conjuring 2: Le Cas Enfield, le réalisateur James Wan a refusé de faire Fast & Furious 8. Est-ce que ça valait le coup ?
James Wan, c’est le gars qui s’est fait connaître avec Saw. Depuis, il s’est frotté à différents genres avec un certain talent.
Dans Conjuring, James Wan décide de s’attaquer au mythe d’Harrisville avec l’aide du célèbre duo : Ed et Lorraine Warren.
Malignant est une curiosité. Alors que le nouveau film de James Wan semble être un Conjuring bis, ce n’est pas du tout le cas.
BlacKkKlansman, malgré son sérieux dans l’enjeu, nous fait pisser de rire et nous rappelle à quel point le racisme, c’est pour les ignorants.
Après le catastrophique La Tour Sombre, je craignais cette nouvelle adaptation de Stephen King. Finalement, Il est (bien) revenu.
James Wan étant parti, Leigh Whannell a repris le flambeau. On pouvait donc envisager le pire, un désastre à la Annabelle, mais pas du tout.
Pour préparer la suite de Conjuring, Poltergeist semble être un bon plan. Accrochez-vous à vos miches et préparez-vous à la critique.
L’épisode de la saga qui cristallise le plus d’attentes. Trop même ? En balançant une telle punchline, je ne pense pas me tromper.