Critique : Le Diable, tout le temps
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
Même si moins efficace que le premier, The Babysitter: Killer Queen demeure une bonne comédie horrifique où je me suis bien marré.
La deuxième saison de la série Star Wars, The Mandalorian, arrive le 30 octobre. L’occasion alors de dévoiler une bande-annonce.
Un film familial classique porté par un excellent Bryan Cranston et une galerie d’animaux à la fois criants de réalisme et attachants.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Avec Les Phénomènes, l’Allemagne propose sa vision des super-héros. Bon, ça ne vole pas haut, mais c’est bien foutu malgré un climax décevant.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Bon, on ne va pas dire que ça vole haut. En même temps, vu le sujet. Néanmoins, ça reste sympathique et rythmé avec quelques bonnes blagues.
Sherlock Holmes a une petite sœur. Elle s’appelle Enola et est jouée par la star de Stranger Things. Voilà un curieux pitch.
Attention, il ne s’agit pas ici de raconter l’Histoire du jeu vidéo, mais plutôt partager des histoires diverses durant l’âge d’or.