Critique : Wolverine – Old Man Logan
Devant une telle œuvre, on se prend à rêver d’une adaptation cinématographique tellement le matériau s’y prête.
L’univers est si vaste, surtout au cinéma, où désormais, on peut compter sur trois univers majeurs avec le Marvel Cinematic Universe, le DC Extended Universe sans oublier les Marvel de la Fox. Sur cette page, on ne fait pas de distinctions entre les univers.
Devant une telle œuvre, on se prend à rêver d’une adaptation cinématographique tellement le matériau s’y prête.
En revisitant le mythe de Roméo et Juliette, Gus Van Sant nous livre un film touchant et sensible doté d’une belle réflexion face à la mort.
Un album qui conserve tous le charme des productions Margerin. Quel régal de revoir la bande à Lulu et ces histoires courtes très drôles.
L’émotion est le cœur du film grâce à un trio d’acteurs exceptionnels Hardy/Edgerton/Nolte. Sans oublier, des combats dantesques.
Quentin Dupieux met en scène avec brio (pour ma part) la folle aventure aux aspects comique et horrifique de ce pneu tueur.
Un album en déça de son prélude mais conservant quand même quelques très bonnes idées et des blagues toujours délirantes.
Fright Night n’est pas un bon film d’horreur, ni une bonne comédie. L’ensemble manque cruellement de pèche et de folie.
Posé sur un sujet en vogue et difficile sur les droits de l’homme/femme bafoués en Iran, Au revoir se plante.
En lisant l’histoire, j’ai été choqué par la trame qui ressemble beaucoup à celle du film The Dark Knight. On peut même parler d’adaptation.
Un excellent blu-ray 2D et un blu-ray 3D à l’intérêt plutôt mitigé étant donné la 3D mauvaise de Priest et son coût.