Critique : The Roommate
The Roommate se part d’un casting à la mode midinette à savoir des acteurs provenant de séries qui font fureur sur ce type de public.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
The Roommate se part d’un casting à la mode midinette à savoir des acteurs provenant de séries qui font fureur sur ce type de public.
Un excellent comic qui joue sur nos fantasmes et les assouvit (une fois n’est pas coutume). Un achat indispensable pour les fans.
Devant une telle œuvre, on se prend à rêver d’une adaptation cinématographique tellement le matériau s’y prête.
En lisant l’histoire, j’ai été choqué par la trame qui ressemble beaucoup à celle du film The Dark Knight. On peut même parler d’adaptation.
L’Ange du Mal souffre de sa comparaison du précédent long-métrage de Michele Placido toutefois il reste un bon film de gangster.
Drive n’est pas un film d’action spectaculaire. Il se rapproche du polar à l’ancienne avec une belle histoire d’amour et réalisation.
Une curiosité, ne serait-ce que pour voir le premier film de Darren Aronofsky. En somme, un bijou d’épouvante.
La série n’est pas morte, au contraire, elle est furieusement toujours aussi jouissive. N’allez pas chercher ici un renouveau de la série.
Plusieurs choses frappent en visionnant le long-métrage de Paolo Sorrentino comme la performance de Sean Penn et la beauté des plans.
Quand on regarde Triangle, difficile de ne pas penser à Cube car il use des mêmes procédés pour happer l’attention du spectateur.