Critique : Relic (2020)
Ben dis donc, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu peur devant un film. Ça pose une ambiance peu rassurante et délivre un climax dingue.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Ben dis donc, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu peur devant un film. Ça pose une ambiance peu rassurante et délivre un climax dingue.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.
Mélange improbable entre Se7en et The Big Bang Theory, Origines secrètes m’a marqué par sa générosité malgré ses défauts.
Pour sa dernière, Agents of SHIELD propose la formule adoptée par le dernier Avengers. Résultat, action, humour et émotion se mélange.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
Ses nombreux défauts empêchent The Last of Us Part II d’atteindre le statut de chef d’œuvre dans mon cœur, mais il n’en est pas loin.
Chacune des scènes d’action de Balle perdue est mémorable et ce n’est pas donné à tous les films du genre. Malheureusement, le reste pêche.
Un vrai mauvais film et Netflix avait laissé un gros indice : ils l’ont sorti sans aucune promotion malgré une actualité pauvre.