Critique : Marvel’s Spider-Man : Miles Morales
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
Suspense, mystère et tension s’entremêlent dans le genre « thriller », nous captivant avec des intrigues palpitantes et des twists haletants.
Marvel’s Spider-Man : Miles Morales est un spin-off très réussi. Surtout avec les apports non négligeables de la PlayStation 5.
Une fois surmontée, la déception de ne pas avoir une adaptation de Lovecraft, je me suis bien régalé vu la générosité de la série.
Malin, reposant sur un fait de société poignant, superbement réalisé et porté par deux excellents acteurs, His House est un coup de cœur.
On retrouve bien la formule de Marchal avec un univers très noir. Juste dommage que l’ensemble soit à la limite de la parodie.
Pour la suite de Dernier train pour Busan, Sang-ho Yeon prend le risque de proposer quelque chose de différent. Du New-York 1997, sauf que…
J’étais venu pour l’épouvante et l’ambiance, comme Hill House. Surprise, je me tape un soap-opera où des fantômes viennent taper l’incruste.
Netflix commence à avoir un catalogue fourni de bons films et Les Sept de Chicago en fait partie. Quoi d’étonnant de la part de Sorkin.
Ben dis donc, ça faisait longtemps que je n’avais pas eu peur devant un film. Ça pose une ambiance peu rassurante et délivre un climax dingue.
Un conte gothique superbement narré et interprété nous montrant les pires côtés de l’humanité. Sur fond de religion. Un cocktail mémorable.
La narration et la photographie maîtrisées à la perfection m’ont emmené pour un voyage dont je me souviendrais longtemps.