Critique : Project Power
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Le genre « science-fiction » transporte les spectateurs vers des mondes futuristes, explorant les avancées technologiques et les questions philosophiques.
Project Power fait ce qu’on lui demande. De la série B pure profitant de son sujet pour aller loin dans le délire au rayon des pouvoirs.
Vu son intrigue complexe, je m’attendais à une conclusion ratée, mais que nenni, Dark a réussi là où de nombreuses séries ont raté.
Un plantage total. Le mot est dit. Seuls les gamins pas vraiment regardants prendront du plaisir devant ce Disney.
Si je n’avais pas vu qu’il s’agissait d’une série du mec de The Office et Parks and Recreation, je n’aurais sans doute jamais regardé Upload.
Vivarium nous propose de respirer à nouveau, le temps d’un film, l’atmosphère d’une série culte des années 60 : La Quatrième Dimension.
Nouvelle lecture moderne du monstre Universal, l’homme invisible échappe à la destinée de ses deux prédécesseurs, Dracula et la Momie.
Sans réelle surprise, Bloodshot est une adaptation de comic qui se sert du nom pour survendre un actionner estampillé Vin Diesel.
Comme fer de lance pour le lancement de sa plate-forme de streaming, Disney a décidé de miser sur un Mandalorien.
Sans hésiter, la suite de Watchmen par HBO est une des meilleures séries sorties cette année et une des meilleures séries de tous les temps.
On y est. C’est le dernier. La conclusion de la saga Skywalker. Qui porte le curieux nom de L’Ascension de Skywalker. Bizarre pour une fin.