Critique : Les Trois Mousquetaires
Ce qui aurait pu être un bon petit film de cape et d’épée se retrouve parasité par l’ancêtre d’Alice de Resident Evil.
Ce qui aurait pu être un bon petit film de cape et d’épée se retrouve parasité par l’ancêtre d’Alice de Resident Evil.
On pouvait être dubitatif quant à l’idée de faire un long-métrage intégralement muet comme si le film était sorti dans les années 20.
Une agréable comédie tournant autour de l’univers du théâtre et du braquage qui vaut pour son sens de la répartie et ses acteurs.
Quelle agréable surprise de tomber sur des comédies romantiques relevant le niveau de ses confrères. Le meilleur de Hollywood dans le genre.
Plusieurs choses frappent en visionnant le long-métrage de Paolo Sorrentino comme la performance de Sean Penn et la beauté des plans.
Le Mytho – Just Go With It se regarde sans déplaisir mais donne uniquement envie de ressortir nos Adam Sandler préférés.
L’anti-comédie romantique par excellence. Tout est affligeant sauf le petit chien. Un désastre annoncé et finalement accomplie.
Malgré une réputation plutôt douteuse, j’ai eu du mal à résister au charme de Catherine Zeta-Jones. J’aurais dû être plus fort…
Le film marque, non le mot est trop faible, il traumatise en nous livrant un portrait sans tabou d’une histoire d’amour.
Une comédie dramatique sympathique qui ravira les filles et ne fera pas trop chier leur compagnon. Le couple Duhamel/Heigl fonctionne.